Comme disait Groland au sujet des champignons :
Quand on s’y connaît rien, la tache est donc ardue, comment avoir une chance de faire au moins griller 5 vieux pieds de moutons dans une poêle quand on y connaît rien, nada, makache, que dc’hi, walou, peau d’zob ?
Premièrement, la météo : on attrape pas les mouches avec du vinaigre – expression de merde – en tout cas on ne va pas aux champignons après 45 jours de cagnard.
La recette de tonton Fabien : il vous faudra au moins 2 jours de pluie, ou plus, suivis d’une éclaircie d’une journée et des températures supérieures à 12-15 degrés (non, pas le pinard, Germain) devraient suffire à faire pousser la FongyFamily.

Après, il faut savoir que les champignons sont associés à certaines essences d’arbres, ils opèrent en synergie, en symbiose et s’apportent mutuellement eau et nutriments grâce à leur système racinaires. Pour les cèpes, dans les bois et forêts de plaine et de basse altitude (inférieure à 500 mètres) les chênes, les châtaigniers (plus méridionaux) et les hêtres (plus septentrionaux et montagnards dans le sud) sont d’excellents pourvoyeurs des principales espèces de cèpes (boletus aereus, boletus aestivalis et boletus edulis).
Demandez a Fred et Jamy à 13″05 https://youtu.be/j8zkie24WvE?t=786
